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Ω Theres something inside ya, is hard to explain.

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Alÿeská A. Kóstas

Alÿeská A. Kóstas

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MessageSujet: Ω Theres something inside ya, is hard to explain. Ω Theres something inside ya, is hard to explain. EmptyLun 3 Nov - 17:49

Alÿeskà Amàlía Kóstas


When I'm out with my girls I always play a bit bitchy
feat. Holland Roden
Infos Rapides
Surnom: Alÿ
Date de naissance: 3 Mars 1991
Âge: 23 ans
État civil: Amoureuse & Célibataire
Orientation sexuelle: Lesbienne
Occupation: Fêtarde & Aux Études
D'origine: Grecque
Groupe: Party Animals
 

Histoire
Sérieusement. Pourquoi on devrait causer de l'histoire de nos parents, hein ? Non mais c'est vrai, quoi. Genre que personne a envie de se taper la morbide histoire dégoulinante de passion romanesque de nos parents. Pi après, on s'en fou. Ils ont eu à tomber amoureux et ça c'est fini dans un lit après qu'ils aient longuement, passionnément couché ensemble. Bon, on s'emmerdera pas sur les détails. Je suis venue [ahahah, did u get it?] au monde, enfin ... J'ai commencé à me développer à cause d'un orgasme. Ben oui. Tout l'monde sait ça, non ? Enfin de nos jours, tout le monde sait ça. Des parents qui crient leur plaisir pour finalement s'effondrer pas très grâcieusement sur le lit. Peut-être qu'ils se sont endormis, mais on s'en balance. Mais en fait, très sérieusement, la réponse est non. Bon, ÉVIDEMMENT qu'il y a eu un orgasme, on est pas cons. Mais du plaisir ? Ben, ça ... Non. Óchi. No. Nein. Je l'ai dit dans quatre langues, ça devrait suffire ? Parce que c'était un viol, tu vois ? Typique, je sais. Banal, ça reste à voir. T'say, un viol, c'est pas banal. Le lendemain de cette nuit là, elle ne pensa pas à prendre la petite pillule pour ne pas tomber enceinte. Y'avait tellment peu de chances qu'elle le soit. Mais bon, juste pour faire chier, évidemment qu'elle allait tomber enceinte de moi. La vie, s'pas toujours facile pi ça peut être ben ben chiant parfois. Après un mois et demi, quand elle avait comprit qu'elle attendait un bébé tout frippé dans son petit ventre violé. J'sais pas ce qui lui est passé par la tête, mais elle a décidé qu'elle ne se ferait pas avorter. Cet enfant conçue dans le mal et l'horreur, elle allait le garder pour se rappeller de toujours être forte, de ne jamais tomber et de continuer à avancer malgré la merde que la vie faisait. Pi, elle voulait pas tuer un être innocent, vierge de tout. La pûreté même.

De ce que je sais, elle n'en avait pas parlé à ses parents. Elle s'était brouillée avec eux pour des conneries. Pour un truc d'études apparemment. Elle voulait étudier dans un domaine autre que celui qu'ils auraient aimé la voir prendre. Eux voulaient qu'elle soit avocate. Elle voulait être chimiste. Ce qu'elle fit. Mais bon, elle était encore aux études quand elle m'attendait. Donc elle a du se trouver un p'tit boulot comme boulangère dans les vieux quartiers d'Athènes, en plus de son travail à l'hôpital. Elle parlait grec et anglais, deux langues que j'appris lors de ma petite enfance, mais avec le grec comme préférence, étant donné où j'habitais. Enfin bon, elle a trouvé un deuxième boulot et accumulait l'argent pour deux, pour quand elle devrait rester aliter pour ne pas me perdre, pour quand elle allait accoucher et qu'on serait toutes les deux dans son petit appartement. La naissance ne fut pas de tout repos. C'est pas super agréable, ça ne fait pas énormément de bien. Alors ma maman hurlait pour me faire sortir, puis à mon tour j'hurlais parce que je goutait goûlument l'air qui me brûlait les poumons qui avaient jusque lors baigné dans l'ignorance de l'air. Puis parce que j'avais faim. Elle m'avais nourrie, comme une bonne petite maman. Deux ou trois jours plus tard, on était de retour à l'appartement. Ma mère avait reprit ses cours et me confiait à une voisine. Je grandis ainsi entre elle et ma mère. À mes cinq ans, ses études terminées, elle décida de quitter Athènes pour aller s'établir sur le continent Américain. La grosse ville de la Liberté, celle qui faisait rêver. New York.

Haa, New York. J'étais beaucoup trop jeune pour me souvenir de mon arrivée, à l'époque. Tout ce que je me rappelle, c'est que j'avais une peur atroce de l'avion. Ça bouchait les oreilles et faisait un mal atroce à l'attérissage et au départ. Si je ne me souviens pas de mon arrivée, je me souviens de notre rencontre. Je tenais la main de ma mère pour entrer dans l'appartement. Toi, tu me fixais, assise dans le couloir à jouer avec tes poupées. Nous nous sommes souris et j'me sis dit que tu devenais ma meilleure amie. Mais bon, à cet âge-là, on est amis avec tout le monde, donc c'était pas très compliqué. Après une visite express de mon nouveau chez-moi, j'étais sortie dans le couloir pour aller te saluer. Tu m'invitai à jouer avec toi et nous passâmes des heures à jouer ainsi, insouciantes de tout, jusqu'à ce que nous devâmes aller manger. Ensuite, nous nous retrouvâmes encore et encore au fil des jours. C'était le début de l'été et il faisait chaud. Avec la voisine plus vieille qui servait de gardienne, nous allions au parc. L'été passait et nous devîmes inséparables. Lorsque fut le temps de la rentrée scolaire, nous entrâmes dans la même classe. C'était amusant. J'avais perfectionné mon anglais, mais garderait toujours cette tendance à rouler des lettres et mon accent greco-européen.

Puis, vint l'âge de l'adolescence. L'âge des premiers émois, des questionnements et des changements. Celui où on se rend compte de ce qu'on est, de ce qu'on aime. Plus d'une fois, je m'étais surprise à regarder les filles plus que les garçons. Beaucoup plus souvent, à loucher pas très subtilement sur les poitrines ou les fesses. J'avais prit peur au début. Comme quoi c'était pas normal, que c'était un peu dégoutant. Mais, je m'étais rendue compte que ça ne changerait rien. J'avais onze ans. Mais je n'en parlais pas. J'entrais à l'école secondaire et j'avais atrocement peur de me faire juger, tu vois. Même à toi, j'en avais pas parler. Puis vint l'âge de treize ans. J'étais assise sur ton lit et te regardais doucement, nerveuse.

- Ali. Faut que j't'avoue un truc.
- Tu as l'air nerveuse. Ça va pas ?
- Ben ... euh ... Je ... J'aime pas les gars.

J'avais été gênée de le dire et ma voix n'avait été qu'un faible murmure. Telle petit et puéril, comme si j'avais peur que tu me rejettres, comme si j'avais peur que cela brise notre amitié. J'hésitais depuis des jours, des semaines à te le dire. Ça avait été une journée ensoleillée, comme le sourire qui avait illuminé ton visage.

- Moi aussi en fait, cesses donc de t'inquiéter pour rien.

Tu te rappelle ce tatouage qu'on s'est fait faire, vers seize ans, à l'insu de nos parents, à l'intérieur de notre poignet gauche ? Ce double signe d'Infinity ? Because we are forever. Eternals. C'est ce qu'on s'était dit en allant se faire tatouer. Parce quon avait déjà onze ans d'amitié infaillible. Parce qu'elle durerait jusqu'à ce qu'on se promenne en marchette dans une résidence, l'air perdu et gaga. Enfin, bref. Nous nous étions jurées l'éternité, à l'infini, comme la grandeur de notre amitié. Après mon coming-out, nous étions devenues un peu plus proches pour ainsi dire. Personnellement, j'hésitais à me révéler aux autres. Je l'avais révéler à ma mère mais elle l'avait très mal prise, me traitant de tous les noms possibles et inimaginables. Elle en était presque à me renier et me fuyais comme la peste. Comment on peut détester son enfant à ce point ? Juste parce qu'il est différent ? Elle avait néanmoins fini par se calmer et me dire qu'elle était désolée, mais pour moi, le mal avait été fait et il subsistait un froid entre nous deux. Quand je lui avait avoué pour le tatouage, elle avait simplement soupiré. Elle avait pesté comme quoi j'étais rebelle, mais j'en avait tellement rien à faire de son opinion.

L'âge des premières fois. Ça avait commencé par une soirée tranquille entre nous deux. Nous écoutions un film puis tu t'étais endormie sur moi, la tête sur mes genoux. J'avais longuement joué dans tes cheveux avant de finalement aller te porter dans ton lit. Je m'étais endormie en te regardant. Dans mon sommeil, je m'étais approchée de toi. À mon réveil, je dormais collée contre toi. J'avais pris conscience des papillons qui parsemaient mon ventre. J'étais amoureuse. Je crois que je l'étais depuis un petit moment, mais que je n'avais pas voulu me l,avouer. J'avais tellement peur que ça gâche quelque chose entre nous. J'avais pas envie de ruiner notre amitié pour ça. Alors je t'avais regarder dormir, jusqu'à ce que tu t'éveilles. Mes yeux verts étaient vrillés dans les tiens. Mes cheveux bruns roux en bataille étaient étalés sur l'oreiller.

- Ali ... Je ... J'veux rien te cacher ... Alors faut que j'te dises ... Je ... Je suis amoureuse de toi ...

Mes yeux s'étaient baissés. J'avais peur que tu me regardes différemment, que ce ne soit plus pareil entre nous. J'avais peur d'affronter cette réalité, tout cela. L'avenir aussi. J'étais au bord des larmes, au bord de la crise de nerfs. Tu n'avais rien dit, alors j'avais fini par lever les yeux vers toi. Tes yeux exprimaient la surprise. Tu avais souris tout doucement et mon coeur avait commencé à battre comme un malade, genre tambour. Ça faisait presque mal. Tu t'approcha doucement de moi et fit ce que je n'avais pas espéré. Tu m'embrassa doucement, presque avec la légereté d'un papillon, ou la caresse d'une plume. J'avais rougis et mon coeur s'était mit à battre encore plus vite. J'avais envie de t'embrasser encore et encore, des heures durant, mais je ne le fis pas, me contentant de passer une main douce sur ta joue et te fixer sans rien dire, la tendresse dans le regard.

- T'es mignonne.

Los Angeles. LA. J'admirais son quartier gay depuis l'internet de chez moi. En ayant marre de New York, je te l'avais proposé.

- Hey, Ali. J'ai envie de partir pour LA. Aller vivre dans le quartier gay, m'afficher et vivre un peu. En plus, y'a des bars tellement adorables !
- Oh, pourquoi pas ? J'aime voyager.

J'avais su que tu accepterais. Alors nous avions commencé à tout prévoir. Un mois plus tard, on avait pris le bus direction LA avec nos valises. Une nouvelle vie commençait. Nous nous installâmes ensembles dans un petit appartement et tu décrocha un boulot au bar le plus chic et réputé du quartier gay. Moi, j'avais choisis d'être serveuse pour payer mes études. J'étudiais à temps partiel pour être professeure de littérature. J'adorais lire autant que j'adorais faire la fête. Un soir, je déidai d'aller au bar, deux soirs après notre arrivée. Tu faisais ton premier soir à ce bar.

- J'offre une nuit à celle qui me fait le plus beau pool dance !
- Prépares-toi.

J'avais dit cela en riant. J'avais monté sur la piste et entreprit de me déhancher en malade, ondulant comme jamais, juste pour toi. Tournant, mmontant, descendant sur le poteau, je m'amusais comme une dingue. Évidemment, j'avais un peu beaucoup bu, mais j'étais quand même lucide, juste un peu plus entreprenante. Puis, cette nuit avec toi, j'en rêvais depuis un long moment. J'espérais juste réussir à t'amadouer, à te faire flancher. Je savais que beaucoup de filles me fixaient en sifflant, mais moi, je n'avais d'yeux que pour toi. Depuis l'âge de seize ans et ce baiser volé au réveil, je rêvais de ce moment, car j'étais folle de toi. En finissant ma petite danse improvisée, je remarquai que tu n'étais plus au bar, mais que tu m'attendais. J'eus un sourire en coin, aguicheur et m'aprocha en me déhanchant. J'aggripai tes épaules et m'emparai violemment de tes lèvres. Je savais que tu l'avais volontairement voulu, ou du moins, m'en doutais fortement. Sept ans avaient passés depuis que je t'avais avoué mon amour. J'avais eu des copines, mais ça n'avait jamais très longtemps duré, parce que je ne pouvais m'empêcher de t'aimer. Tandis que mes lèvres dévoraient les tiennes, je souriais. Finalement, nous montâmes lentement aux chambres et fermai l'une des portes avant de la verrouiller. Mes mains s'étaient faites baladeuses et parcouraient ton corps avec une avidité que je ne me connaissais pas. Les vêtements et souliers volèrent dasn la petite pièce tandis que je te poussais lentement vers le lit. Allongée sur toi, j'embrassais chaque partie de ton corps, alternant caresses et bouche un peu partout. La bouche, la gorge, descendant lentement vers la poitrine, le ventre. Puis le sexe. Tu gémissais et ondulais doucement sous moi, tandis que les vagues de plaisir déferlaient dans on corps. La douceur, le plaisir, le bonheur. J'étais lentement remontée, te laissant descendre de ton petit nuage rose. Puis, tu m'avais renversée et je m'étais retrouvée en-dessous. Tu avais su me faire perdre la tête rapidement avec les caresses et démontrant une certaine habitude. Après une nuit à tester énormément de positions dans des endroits différents de la pièce, notamment le lit, le plancher, le mur aussi, nous nous endormîmes aux lueurs du matin, épuisées, assouvies. Heureuses. J'avais du partir en milieu d'avant midi pour aller travailler.

- Je t'aime.

Les derniers mots que je t'avais murmuré, volés d'un langoureux baiser avant de quitter. Toi, tu avais prit le chemin de l'appartement. C'était une première fois. Serait-ce l'une parmi plusieurs ? À recommencer ou une aventure ? À quoi ressemblera l'avenir ? Sincèrement, est-ce qu'on se met en couple ? Je t'aime tellement et te voir avec une autre me fais agoniser. J'aimerais tant sortir avec toi, être en couple. Toi, le veux-tu ?¸
[2220 mots. j'ai fait court pour vous épargner.]


Caractère
Les gens qui me connaissent savent que je suis une passionnée. J'adore apprendre et enseigner. C'est pourquoi j'étudie en enseignement. J'adore bouger et rire. J'ai sans cesse besoin de courir, de sortir. J'ai besoin de me démarquer, de faire du bruit, d'être vivante. L'amusement, c'est ce qui fait ma vie. À l'école, j'étais le bout en train, toujours à faire des blagues et foutre le bordel. J'adore aller dans les bars, veiller jusqu'aux petites heures. Danser jusqu'à en avoir mal pendant des jours. J'aime boire et expérimenter. Sérieusement, que serait la vie sans un peu de risques, dites-moi ? Je me dis toujours de foncer, de ne jamais abandonner. De foncer, parce que sinon je vais le regretter. Ça m'a foutu dans le trouble quelques fois, mais je m'en sors assez bien. Je suis une fille assez observatrice, dynamique et enthousiaste. En amour, je peux être timide, mais très déterminée. Je suis protectrice et enjouée. Je n'ai pas peur de dire ce que je penses, sauf quand cela concerne l'amour, mais j'y vais quand même. Je ne suis pas connue pour être réellement timide. Mais gare à vous. Si vous cherchez le trouble, vous me trouverez assez rapidement. De joviale, je peux passer a très colérique si je décide que j'en ai marre de cela. Je suis impulsive et parfois, des mains volent pour foutre des baffes. Je ne suis pas spécialement rancunière et j'ai le pardon facile. Sauf dans certains cas. Je défends tous ceux qui ont besoin de l'être et je déteste voir des gens se faire rabaisser.


Derrière l'écran
Un surnom ? : Eli.
Ton âge réel : 20
Gars ou fille ? : Fille
Étude/travail : Infirmière Auxiliaire!
Passions : Lire. Écrire. [RP depuis 10 ans]. Animer. Théâtre. Danser. Soigner. Psycho. Histoire. Archéologie. Langues.
Comment as-tu trouvé ce forum ? : Byby! [Alizée♥️]
Qu'est-ce que tu en dis ? : Genre ... OMG ? Ω Theres something inside ya, is hard to explain. 2657580612
Code à trouver dans les règlements : Validé par Debra Diaz


BOOGYLOU.


Dernière édition par Alÿeská A. Kóstas le Lun 3 Nov - 20:49, édité 2 fois
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Sawyer Godfrey

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MessageSujet: Re: Ω Theres something inside ya, is hard to explain. Ω Theres something inside ya, is hard to explain. EmptyLun 3 Nov - 18:08

Ω Theres something inside ya, is hard to explain. 2657580612 un deuxième membre! Bienvenue parmi nous Ω Theres something inside ya, is hard to explain. 3018807598
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Alÿeská A. Kóstas

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MessageSujet: Re: Ω Theres something inside ya, is hard to explain. Ω Theres something inside ya, is hard to explain. EmptyLun 3 Nov - 18:35

Danke Schön, BG Ω Theres something inside ya, is hard to explain. 2657580612
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Ombre Ethyl

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MessageSujet: Re: Ω Theres something inside ya, is hard to explain. Ω Theres something inside ya, is hard to explain. EmptyLun 3 Nov - 19:02

Bienvenue Ω Theres something inside ya, is hard to explain. 4278088255

N'hésite pas si tu as des questions ^^
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Alÿeská A. Kóstas

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MessageSujet: Re: Ω Theres something inside ya, is hard to explain. Ω Theres something inside ya, is hard to explain. EmptyLun 3 Nov - 20:51

J'ai terminé ma fiche ♥
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MessageSujet: Re: Ω Theres something inside ya, is hard to explain. Ω Theres something inside ya, is hard to explain. EmptyLun 3 Nov - 21:19

bienvenue parmi nous ❤
super choix, Holland est magnifique Ω Theres something inside ya, is hard to explain. 4278088255
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Alÿeská A. Kóstas

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MessageSujet: Re: Ω Theres something inside ya, is hard to explain. Ω Theres something inside ya, is hard to explain. EmptyLun 3 Nov - 21:36

Merci♥
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Sawyer Godfrey

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MessageSujet: Re: Ω Theres something inside ya, is hard to explain. Ω Theres something inside ya, is hard to explain. EmptyLun 3 Nov - 22:02

Génial la prés ! Very Happy
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Ombre Ethyl

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MessageSujet: Re: Ω Theres something inside ya, is hard to explain. Ω Theres something inside ya, is hard to explain. EmptyLun 3 Nov - 22:06

Le gif de Zac Efron est fa-bu-lous. On te valide sous peu Ω Theres something inside ya, is hard to explain. 2337797929
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Debra Diaz

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MessageSujet: Re: Ω Theres something inside ya, is hard to explain. Ω Theres something inside ya, is hard to explain. EmptyLun 3 Nov - 22:31

FICHE VALIDÉE


Bienvenue sur Gays&Freaks


C'est avec un énorme plaisir que nous validons votre personnage ! Vous pouvez désormais poster sur le forum et commencer à RP ! N'oubliez pas que le staff est toujours présent pour répondre à vos interrogations. Bonne continuation sur le forum !


BOOGYLOU.
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Alÿeská A. Kóstas

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MessageSujet: Re: Ω Theres something inside ya, is hard to explain. Ω Theres something inside ya, is hard to explain. EmptyMar 4 Nov - 10:20

hahahaha je sais que ce gif est magique, même si j'aime pas Zac What a Face
Merci pour lescommentaires♥️
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MessageSujet: Re: Ω Theres something inside ya, is hard to explain. Ω Theres something inside ya, is hard to explain. Empty

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Ω Theres something inside ya, is hard to explain.

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